Rien ne vaut un bon film catastrophe avant de rentamer une semaine de travail, le genre de film que TF1 savait vendre le dimanche soir avant de se transformer en laboratoire de séries policieres. En pleine tempête est le genre de film dont on connaît déjà l'issue dès les premières minutes. L'intro en dit long : violons (magnifiquement orchestrés par James Horner d'ailleurs) mêlés à un travelling sans fin d'un memorial dédié aux pêcheurs disparus en mer. Le suspense sera de courte durée, on ne pourra pas en dire autant de cette putain de tempête qu'on attend pendant plus d'une heure !!! A quoi bon appeller un film en pleine tempête si la moitié du film se passe sous un climat agréable et propice à la pêche...bref.
L'histoire est centrée sur Billy Tyne, capitaine d'un bateau de pêche (et non d'un crevettier) qui joue de malchance dans ses dernières campagnes de pêche à l'espadon. Fier comme un coq, il prefère priver son équipage d'un repos sur terre pour affronter de nouveau des horizons lointains qui lui garantiront un butin maximum. Pendant que le bateau s'éloigne, les météorologues discernent un phénomène climatique rare qui débouchera sur une tempête hors normes. Il reste alors deux possibilités pour le capitaine et son équipage. Attendre que la tempête passe et perdre son butin qui aura moisi en fond de cale ou braver l'impossible et regagner un peu de fierté...
Je ne me souviens plus de la première fois où j'ai vu ce film mais la pauvreté des effets spéciaux ne m'avait pas autant marqué que cette fois là. On mettra ça sur le compte du format Blu-ray qui ne pardonne aucun défaut...Vous commencez à connaître mon don pour l'exagération alors je ne vous mentirai pas. On voit clairement que le film a été réalisé dans un petit studio dans lequel on a casé un maximum de machines à faire du remou et de la fausse pluie. A ce passage, j'ose à peine imaginer les conditions de tournage pour Clooney et Cie qui ont dû avaler des milliers de litres d'eau jusqu'à l'épuisement total. Après, il est évident qu'on ne peut reproduire une tempête de force 12 sur l'échelle de Beaufort sans quelques artifices mais on est proche de la limite là quand même. C'est sûrement les avancées dans ce domaine qui décridibilisent en partie les films tournés dans les années 90, il en reste néanmoins un bon divertissement.
Côté casting George Clooney nous a sorti sa plus belle chemise de bûcheron canadien, sa barbe d'une semaine et la casquette de farmer John Deere des grands jours. Il est déjà loin de son côté beau gosse au service urgentiste de Chicago qui l'a vu naître. Il signe une belle prestation aux côtés d'un Mark Wahlberg toujours aussi peu charismatique. J'attends toujours le film qui le révelera...peut être The Fighter actuellement au cinéma et qui nourrit plutôt bien les critiques ciné. Wait and see...
L'histoire est centrée sur Billy Tyne, capitaine d'un bateau de pêche (et non d'un crevettier) qui joue de malchance dans ses dernières campagnes de pêche à l'espadon. Fier comme un coq, il prefère priver son équipage d'un repos sur terre pour affronter de nouveau des horizons lointains qui lui garantiront un butin maximum. Pendant que le bateau s'éloigne, les météorologues discernent un phénomène climatique rare qui débouchera sur une tempête hors normes. Il reste alors deux possibilités pour le capitaine et son équipage. Attendre que la tempête passe et perdre son butin qui aura moisi en fond de cale ou braver l'impossible et regagner un peu de fierté...
Je ne me souviens plus de la première fois où j'ai vu ce film mais la pauvreté des effets spéciaux ne m'avait pas autant marqué que cette fois là. On mettra ça sur le compte du format Blu-ray qui ne pardonne aucun défaut...Vous commencez à connaître mon don pour l'exagération alors je ne vous mentirai pas. On voit clairement que le film a été réalisé dans un petit studio dans lequel on a casé un maximum de machines à faire du remou et de la fausse pluie. A ce passage, j'ose à peine imaginer les conditions de tournage pour Clooney et Cie qui ont dû avaler des milliers de litres d'eau jusqu'à l'épuisement total. Après, il est évident qu'on ne peut reproduire une tempête de force 12 sur l'échelle de Beaufort sans quelques artifices mais on est proche de la limite là quand même. C'est sûrement les avancées dans ce domaine qui décridibilisent en partie les films tournés dans les années 90, il en reste néanmoins un bon divertissement.
Côté casting George Clooney nous a sorti sa plus belle chemise de bûcheron canadien, sa barbe d'une semaine et la casquette de farmer John Deere des grands jours. Il est déjà loin de son côté beau gosse au service urgentiste de Chicago qui l'a vu naître. Il signe une belle prestation aux côtés d'un Mark Wahlberg toujours aussi peu charismatique. J'attends toujours le film qui le révelera...peut être The Fighter actuellement au cinéma et qui nourrit plutôt bien les critiques ciné. Wait and see...
Infos et bande annonce
Extrait musical
2 commentaires:
Décidément James Horner est le compositeur spécialisé dans le film "nautique" ! :-)
Moi j'adore ce film et en plus, c'est le premier film que j'ai acheté en dvd. C'est peut-être pour ça ! Bon, la pêche est une de mes passions aussi ;-)
Enregistrer un commentaire