Yes man est une nouvelle fois la preuve du talent incroyable de Jim Carrey, l'homme capable de porter un film à lui tout seul peu importe la teneur du scénario. Je le vois vraiment différemment des acteurs qu'on dit "bankable" dont la seule apparition dans le film assure un nombre d'entrées certain. Le canadien d'origine a un talent inné pour la comédie même s'il a tenté dans les dernières années d'élargir son répertoire de manière plutôt convaincante.
Aigri et renfermé depuis que sa femme l'a quitté, Carl Allen se contente de voir toujours le verre à moitié vide. Il perd peu à peu son entourage lorsqu'il rencontre un ancien collègue qui le pousse jusqu'au séminaire des Yes man, sorte de secte à l'américaine qui permet grâce au mental positif de s'offrir de nouvelles opportunités. Grâce à sa rencontre avec le gourou (qui ne s'appelle pas Skippy) il entre dans une phase de sa vie ou il dira "oui" à tout pour le meilleur et pour le pire!
Malgré les rides naissantes, Jim Carrey est toujours aussi bon, capable de jouer un véritable caméléon comme à ses débuts avec les frères Farelly notamment. On est dans les blagues sauce Barbecue, la finesse n'est pas de rigueur même si Jim Carrey arrondit les angles, à croire que ses diverses expériences sérieuses lui ont donné un peu plus de crédibilité dans les comédies. C'était sûrement le but recherché!
Un peu à l'image de Bruce tout puissant ou menteur menteur, Jim Carrey semble avoir quartier libre pour exploiter le scénario. On le voit tour à tour guitariste, bénévole pour la soupe populaire, bon samaritain du crédit bancaire, en proie à sa concierge...autant de situations qui dérapent rapidement.
A ses côtés, le gendre idéal, Bradley Cooper, à l'affiche d'au moins la moitié des comédies américaines qui sortent actuellement. Il ne manquait que Zach Galifianakis pour compléter cette bande de potes qu'on rêverait tous d'intégrer.
Laissez vous guider par ce film, vous ne pourrez pas dire "non" quoiqu'il arrive, j'en prends le pari.
Aigri et renfermé depuis que sa femme l'a quitté, Carl Allen se contente de voir toujours le verre à moitié vide. Il perd peu à peu son entourage lorsqu'il rencontre un ancien collègue qui le pousse jusqu'au séminaire des Yes man, sorte de secte à l'américaine qui permet grâce au mental positif de s'offrir de nouvelles opportunités. Grâce à sa rencontre avec le gourou (qui ne s'appelle pas Skippy) il entre dans une phase de sa vie ou il dira "oui" à tout pour le meilleur et pour le pire!
Malgré les rides naissantes, Jim Carrey est toujours aussi bon, capable de jouer un véritable caméléon comme à ses débuts avec les frères Farelly notamment. On est dans les blagues sauce Barbecue, la finesse n'est pas de rigueur même si Jim Carrey arrondit les angles, à croire que ses diverses expériences sérieuses lui ont donné un peu plus de crédibilité dans les comédies. C'était sûrement le but recherché!
Un peu à l'image de Bruce tout puissant ou menteur menteur, Jim Carrey semble avoir quartier libre pour exploiter le scénario. On le voit tour à tour guitariste, bénévole pour la soupe populaire, bon samaritain du crédit bancaire, en proie à sa concierge...autant de situations qui dérapent rapidement.
A ses côtés, le gendre idéal, Bradley Cooper, à l'affiche d'au moins la moitié des comédies américaines qui sortent actuellement. Il ne manquait que Zach Galifianakis pour compléter cette bande de potes qu'on rêverait tous d'intégrer.
Laissez vous guider par ce film, vous ne pourrez pas dire "non" quoiqu'il arrive, j'en prends le pari.
Infos et bande annonce
Extrait musical
3 commentaires:
"séminaire des Yes man, sorte de secte à l'américaine qui permet grâce au mental positif de s'offrir de nouvelles opportunités"
Je n'ai rien à ajouter ;-)
toi qui fait de la musique, tu ne parles pas de sa conquête dans le film qui est réellement dans le groupe (the munchausen by proxy je crois)
c'est peut-être pour garder du suspense? ;)
C'est vrai tu as raison. J'ai réalisé bien plus tard qu'elle était la chanteuse du groupe She & Him
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